Le destin national de Domota
Et çà continue !!! Les médias font encore les honneurs à Elie Domota. Le nouveau grand timonier de la révolution domienne serait attendu à Paris ce jeudi 19 mars, pour la grande journée nationale de revendications. Cela a été annoncé aujourd'hui sur France Info. Il se pourrait qu'on le voie défiler dans la capitale aux côtés de nos grand leaders de la contestation nationale.
Décidément, le syndicalisme français ne peut plus se passer de lui ! Seulement, est-il mandaté par la population guadeloupéenne ? Osera-t-on lui poser cette question insolente ?
En attendant, si il est exact au rendez-vous, le voilà propulsé à un destin national. Et, comme dans notre pays, syndicalisme rime souvent avec politique, on imagine M. Domota se découvrant une vocation de leader national, à l'image de son ami Olivier Besancenot. L'on se prend alors à imaginer un Barak (pas gentil pour le président des Etats Unis) Domota être candidat aux plus hautes fonctions de l'Etat. Certes, ce grand jour n'est pas pour demain. Mais si cela arrivait, la première question qui pourrait nous titiller, est celle de savoir, si le patron du LKP proposera l'indépendance de la Guadeloupe dans son programme électoral. Ce serait assez savoureux, ne trouvez-vous pas ? Un candidat à la présidence française, originaire d'Outre Mer et annonçant vouloir se débarraser de sa propre région d'origine.... Heureusement, nous n'en sommes pas là. Mais, mais... Vu que le gouvernement actuel, par la voix du secrétaire d'Etat Yves Jego, affiche une belle complaisance vis-à-vis du LKP, au point de stigmatiser le patronat guadeloupéen pour sa "mauvaise volonté" dans le règlement du conflit (une situation plutôt surréaliste), on pourrait s'attendre à tout.
Bref, arrêtons là la plaisanterie. Car, finalement, elle n'est pas drôle du tout.
Décidément, le syndicalisme français ne peut plus se passer de lui ! Seulement, est-il mandaté par la population guadeloupéenne ? Osera-t-on lui poser cette question insolente ?
En attendant, si il est exact au rendez-vous, le voilà propulsé à un destin national. Et, comme dans notre pays, syndicalisme rime souvent avec politique, on imagine M. Domota se découvrant une vocation de leader national, à l'image de son ami Olivier Besancenot. L'on se prend alors à imaginer un Barak (pas gentil pour le président des Etats Unis) Domota être candidat aux plus hautes fonctions de l'Etat. Certes, ce grand jour n'est pas pour demain. Mais si cela arrivait, la première question qui pourrait nous titiller, est celle de savoir, si le patron du LKP proposera l'indépendance de la Guadeloupe dans son programme électoral. Ce serait assez savoureux, ne trouvez-vous pas ? Un candidat à la présidence française, originaire d'Outre Mer et annonçant vouloir se débarraser de sa propre région d'origine.... Heureusement, nous n'en sommes pas là. Mais, mais... Vu que le gouvernement actuel, par la voix du secrétaire d'Etat Yves Jego, affiche une belle complaisance vis-à-vis du LKP, au point de stigmatiser le patronat guadeloupéen pour sa "mauvaise volonté" dans le règlement du conflit (une situation plutôt surréaliste), on pourrait s'attendre à tout.
Bref, arrêtons là la plaisanterie. Car, finalement, elle n'est pas drôle du tout.